Article paru dans Vaucluse Matin le 23 Juillet 2020 :

Violès sans Poids Lourds suit de près le projet de déviation

 Vendredi 17 Juillet, Julia Ekinci, présidente de Violès Sans Poids Lourds (VSPL), avait réuni le conseil d’administration pour présenter l’assemblée générale annuelle. 2020 se présente comme une année blanche.

Julia a ouvert la séance rappelant les derniers contacts pris avec le Département, où Claude Guintrand et elle-même avaient été reçus par Thierry Lagneau. Celui-ci avait signalé que pour Violès, 2020 serait une année blanche au niveau des travaux, mais que ceux-ci se déroulaient normalement. Depuis, il y a eu le confinement, et le chantier a pu prendre du retard. Prochainement, contact sera pris avec le Département pour avoir des informations plus précises sur le déroulement du chantier, ainsi qu’un calendrier plus précis des travaux. Le plan projetant le tracé des différentes étapes de la future déviation a été distribué, afin que les membres du conseil puissent suivre les échéances à venir. De toute façon, tous s’engagent à poursuivre avec détermination les avancements de ce dossier, afin que les engagements soient respectés. Jean-Claude Priéto, trésorier, a présenté le bilan financier qui présente un solde faible mais positif. Les principaux postes étant la subvention de la mairie (268 euros) et les dépenses pour l’assurance, les frais bancaires et ceux d’internet. A ce sujet, lors d’une prochaine réunion du conseil d’administration, ces postes seront revus; ils coûtent actuellement trop chers et le site internet ne correspond pas aux attentes.

Renouvellement du conseil
Dernier point de l’ordre du jour, l’élection de la moitié du conseil d’administration. S’agissant de Julia Ekinci, Jean-Claude Priéto, Stéphane Winkelkotter, Séverine Holtz, sortants, trois sur quatre acceptent de renouveler leur mandat, sauf Stéphane Winkelkotter démissionnaire. Le conseil d’administration reste donc composé de Julia Ekinci, Delphine Goyon, Séverine Holtz, Dominique Boursier, Jean-Claude Prieto, Claude Favier et Jonathan Goyon.

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